Concours de nouvelles proposé par Altaleghje

Au pied de mon arbre : souvenirs de nature : c'est le thème de notre concours de nouvelles 2021.
Du 1er mars au 16 mai.

6 nouvelles récompensées.
 

En partenariat avec les bibliothèques et médiathèques de de Bonifacio, Propriano, Petreto-Bicchisano, Olmeto et Levie (sous réserve).

En juin, les adhérents de ces établissements culturels pourront ainsi lire les nouvelles finalistes, et décerner un prix des lecteurs des bibliothèques.

Être au pied de l’arbre invite au songe ; des racines, aux branches puis au feuillage, l’arbre et le souvenir de nature sont à prendre dans un sens, certes, large, mais invitent également le lecteur à évoquer des évènements naturels, ou pas, réels ou fictionnels, utopiques ou dystopiques.

Et vous, qu’imaginez-vous au pied de votre arbre ?
 

Règlement : https://drive.google.com/.../1jcyFQv2Z7h1CjCu9taP.../view...
 

Si pour la quatrième année le thème du concours de nouvelles d’Altaleghje invitait nos passionnés d’écriture à relater un voyage (réel ou imaginaire), la session 2021 invite les lecteurs assidus, les rêveurs, ou les curieux de tous bords à raconter des souvenirs de nature, et faire voyager le jury dans un monde plus poétique, introspectif.

Depuis de nombreuses années, voire même des siècles, l’arbre est représenté comme étant le symbole par excellence de la vie en perpétuelle évolution. Bien que certains auteur.rice.s, -poètes ou écrivain.e.s- se raccrochent à la nature afin d’y trouver une connaissance certaine sur le monde. Alphonse de Lamartine avait pour habitude d’exprimer dans ses poèmes : « La nature est là qui t’invite et t’aime. Plonge-toi dans son sein qu’elle t’ouvre toujours ».

Bien plus qu’une source d’inspiration poétique, la nature et - découlant de celle-ci- l’arbre, porte une signification particulière et toutefois presque majestueuse dans la vie de l’homme : qu’il en résulte d’un point de vue géographique, d’une question d’espace, de ressenti… l’arbre occupe une place fondamentale dans la vie de l’être humain, certainement car elle le représente indirectement. Souvent sacralisé, l’arbre est perçu comme étant « l’axe du monde » : « Jamais un arbre n’a été adoré rien que pour lui-même, mais toujours par ce qui, à travers lui, se révélait, pour ce qu’il impliquait et signifiait », disait Mircea Eliade.