Sélection en langue française
Des vents contraires, Olivier Adam aux éditions de l'Olivier
Le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates, Annie Barrows - Mary-Ann Shaffer aux édtions NiL
D'autres vies que la mienne, Emmanuel Carrera aux éditions POL
Les heures souterraines, Delphine de Vigan aux éditions JC Lattès
La grand-mère de Jade, Frédérique Deghelt aux éditions Actes Sud
La délicatesse, David Foenkinos aux éditions Gallimard
La vie d'un homme inconnu, Andreï Makine aux éditions du Seuil
Des hommes, Laurent Mauvignier
Ce que je sais de Vera Candida, Véronique Ovalde
Mon enfant de Berlin, Anne Wiazemsky
Scelta in lingua corsa
L’ultima pagina, Georges de Zerbi aux éditions Albiana
Vaghjimi spizzati, Alanu di Meglio aux éditions Albiana
Tupinetta, Domino
A mo vita, Roccu Mambrini aux éditions A Fior di Carta
Canta à i sarri, Nurbertu Paganelli aux éditions A Fior di Carta
Ouvrages primés
Les heures souterraines de Delphine de Vigan aux éditions JC Lattès

Parution 2009
Litterature française
Delphine de Vigan est l'auteur de plusieurs romans, dont certains ont reçu un très bon accueil critique. En 2001, elle a publié, sous le pseudonyme de Lou Delvig, Jours sans faim (édition Grasset), un récit autobiographique qui retrace le combat contre l'anorexie d'une jeune femme de 19 ans.
En 2005, c'est sous son vrai nom qu'elle publie Les jolis garçons, un roman court sur le thème de l'amour (JC Lattès).
Suivent Un soir de décembre, puis No et moi, roman racontant l'amitié entre une ado surdouée et une jeune SDF, qui reçoit le prix des Libraires en 2008.
En 2009, son nouveau roman, Les heures souterraines, ne passe pas inaperçu et figure sur de nombreuses listes des prix littéraires de la rentrée.
L'ultima pagina de Georges de Zerbi aux éditions Albiana

Collection Calamaii
Prosa corsa
Albiana / CCU 2009
L'ultima pàgina est une œuvre très originale, ce roman en langue corse est une invitation certes à la réflexion (notamment sur l'évolution de la société corse et les rapports intergénérationnels) mais ne prend à aucun moment les contours d'un essai.
Très vivant parce que parsemé de références à l'opéra mais aussi d'anecdotes sur la ville qui composent une sorte d'ode à celle-ci, le récit tire ainsi sa force de sa faculté à jouer sur plusieurs tableaux.
Ce qui laisse évidemment augurer que Georges de Zerbi n'a, avec la chute de ce roman, nullement écrit sa... dernière page.