Chant Corse : Tempvs Fvgit
Samedi 9 janvier, 21h

In Absentia

François Bergoin : Mise en scène et scénographie
Sylvaine Comsa : Lumière
Sébastien Bonetti : Basse
Stéphane Giannecchini : Basse
Hervé Muglioni : Seconde, terza
Éric Natali : Auteur, compositeur, interprète
Gérard Rossi : Basse, contre-chant
Patrick Vignoli : Auteur, compositeur, interprète

Drame vocal contemporain basé sur l’entrelacement des voix, du chant, des mots et le mouvement des corps, In Absentia est une traversée humaine, harmonique et créative de l’ensemble polyphonique Tempvs Fvgit… Entre tradition et modernité, transmission et création, In Absentia est le miroir d’où émergent les moments marquants qui relient la mémoire intime à la pulsation du monde.

In Absentia, c’est aussi, par la transcendance du langage, du son et de l’énergie, l’exploration intérieure d’une expérience humaine individuelle ou collective, une réflexion sur l’absence, la puissance des silences, le poids de la mémoire et l’importance du rituel dans le prolongement des souvenirs, mais également une méditation profonde sur le deuil, le doute et la fragilité de la Foi.

Développer une écriture scénique propre a été un principe et un besoin fondamental de l’activité de Tempvs Fvgit… pour penser une autre forme de polyphonie toujours en mouvement qui puisse être écrite et réécrite à l’infini. Tempvs Fvgit… c’est une pulsation initiale, puis un enchevêtrement de voix d’où émerge un chant où l’émotion et la sensation nous engagent corps et âme, une polyphonie qui pressent, des origines au dévoilement, l’invisible et le sacré.

« C’est une collaboration inédite qui s’est engagée entre le metteur en scène François Bergoin de la Compagnie Théâtre Alibi et les membres de l’ensemble Tempvs Fvgit… (…) « Nous voulions aller au-delà d’un concert et créer une spécificité autour de notre travail artistique » explique Patrick Vignoli. (…) Ils ont sollicité François Bergoin qui a accepté de les accompagner dans cette nouvelle création. « J’essaye de les rendre libres sur scène, de libérer le mouvement et le corps des chanteurs qui sont généralement plus habitués à rester figés. L’idée est d’occuper tout l’espace scénique pour provoquer une émotion supplémentaire » note le metteur en scène. » CORSE-MATIN